Voilà quelques semaines que Marley faisait partit de cette drôle d'organisation. Comme quoi fouillé rendait les choses tellement étranges. : Il avait farfouillés sur une organisations top secrète accréditée par la couronne et le voilà désormais faisant partit intégrante du secret lui même. Mais des aliens.... Sérieusement ? Il avait un peu de mal a encaissé le coup, malgré toutes les choses qu'il voyait quand ils allaient en mission et surtout avec ce qu'il avait vécut par le passé. Certes, cela lui paraissait beaucoup plus clair avec le recul que cela lui procurait.  Mais là, tout s'était accéléré. Le ciel se teignant de violet, ces monstres de ferrailles qui tuaient sans distinction.... Quand Marley avait dit qu'ils ressemblaient à des boîtes de conserves sur roulettes, Jack l'avait lourdement réprimandé. « Ce sont des Daleks, des extraterrestres très puissant et très dangereux. Tu ne devrais pas rire d'eux ! » L'ancien policier commençait a regretter de ne pas avoir stopper ses recherches avant de l'avoir retrouvé. Parce qu'il n''était pas plus avancé que cela. Quand Jack lui avait expliqué le pourquoi du comment de son enfance chaotique, intégré à l’équipe, rapidement présenté chaque membre avec une rapide biographie pour chacun, c'est.... C'est comme s'il faisait partit des meubles. Pas dans le sens où il avait très vite integré, mais surtout parce que le Capitaine faisait comme s'il n'était pas là. Comme si c'était normal qu'il soit là. Le Capitaine... Ne faisait pas attention a lui. Il ne s'était pas attendu a de larmoyantes retrouvailles, mais surement pas a cet effacement. Mais Marley continuait de le veiller de loin. Il ne voulait pas faire pot de colle, mais les quelques réponses que le Capitaine lui avait fournis, même si c'est celles qu'il attendait, ne lui suffisait pas.

Quant à ce jour là, le jour où... Les fameuses boites de conserves avaient prit d'assaut Cardiff, Londres, tout le royaume-uni, voire même le monde entier. D'après ce que Marley avait compris, ils avaient perdu le contact avec nombreux pays. C'est quand le message s'est affiché sur les écrans que tout a basculé.
La terre est sous l'empire Dalek.
Ianto était occupé à reprendre contact, et le reste de l'équipe s'affairaient a autre chose, personne n'avait réellement vu le Capitaine s'enfuir. Mais Marley l'avait vu lui. Il le voyait toujours.

Enfourchant sa moto, il regarda un instant le ciel avant de partir a la suite du Capitaine. Jamais il n'avait vu une chose pareil. Teinté de violet, c'était comme si toute la planète avait été mise en quarantaine. Comme si un dôme était posé sur le monde.  Cela ne présageait rien de bon, tout comme ces boites de conserves qui venait d'apparaître près de lui. Démarrant en trombe, il suivit Jack Harkness avec un peu de recul, tentant d'éviter une mort certaine.
Combien de temps roula-t-il ? Mystère. Mais entrant dans la capitale, Marley eu un mauvais pressentiment, qui faillit lui causer du tord : le Capitaine prenait de l'avance sur lui. Et quand enfin il réussit a le rattraper, sur le Tower Bridge, c'était trop tard. Dans la pénombre de cette étrange après midi, ce dôme envoya plusieurs de ses éclaires sur terre. Et il fallut qu'un tombe sur Jack Harkness. Sous la surprise, Marley faillit tomber de sa moto alors que son cris se concentra seulement dans son casque.

Alors quoi ?! C'était tout ?! Un éclair et Jack Harkness, le grand capitaine, n'était plus ? Non, il ne pouvait y croire. Ils n'étaient pas seuls sur le pont, mais c'était tout comme. Au loin, quelques daleks apparaissaient, mais Marley n'en n'avait cure. Voilà que le Capitaine se redressait, frais comme un garon en grommelant contre sa voiture et cet éclair. Tremblant, Marley ne voulait au départ y croire. Il sauta a terre, laissa sa pauvre délicieuse Becky - oui,  il aime donné des noms a ses objets, surtout sa précieuse moto - a terre et s'approcha de l'épave de la voiture.

- J-Jack ? Est-ce... Est-ce que ça va ?

Jamais sa voix ne lui avait parut aussi étrangère qu'en cet instant. Une personne s'approcha, demandant au capitaine s'il savait ce qui se passait. Sourd à cette demande,même si elle ne lui était pas destinée, il se rapprocha de Jack.

- Hé... Hé.... Tu... Tu étais mort. Je t'ai vu.... Tu étais mort ! Et puis d'abord, je peux savoir pourquoi tu nous as laissé en plan ?

La surprise passée, voilà que la colère prenait le dessus.

Et bien ça oui, Marley avait bien vu qu'il n'était mort ! La question est, pourquoi le Capitaine ne l'était pas resté, mort ! Il secoua la tête. Jack avait raison, ils avaient d'autre chats à fouetter. Observant l'homme étrange qui se tenait a leurs côtés, il déglutit.

- Ton fameux Docteur dont tu nous parles toujours sans vraiment rien dire. - Il se tut un instant. - Deux cœurs ? C'est un de ses amis ?

Il n'eu même pas le temps de ricaner alors que ces boites de conserves à roulettes se rapprochaient. Fort bien, fort bien. Jack n'avait pas d'idée, Marley non plus, et l'autre semblait pour le moins inerte, comme si tout cela ne l’atteignait pas. Ils étaient très bien partit ! Vieux réflexe de policier, il avait toujours deux armes sur lui. Mais n'ayant pas vu le capitaine sortir et user de la sienne, il n'était pas sur que cela ai vraiment d'impact, que cela soit d'une grande aide contre ces aliens. Sur l'instant, il ne voyait rien d'autre a faire que de prier pour leur survie.

- Si on omet la possibilité de se battre, il y a toujours la fuite, peu glorieuse, mais efficace...

Jetant un coup d'oeil par dessus la rambarde du pont, il se mordit la lèvre et sursauta quand une voiture explosa près d'eux. Attrapant Jack par le bras, il se cacha derrière la carcasse encore fumante d'un autre véhicule, le coeur jouant la samba dans la poitrine.

- Sauter, non. Quoique, l'eau n'est pas très loin. On peut tenter, mais après il faut avoir la force de nager jusqu'à la rive sans se faire tuer. Sinon, on peut jouer les singes et tenter de fuir par le dessous du pont. Pour au moins rejoindre l'un des deux piliers... On alors, on fonce dans le tas. Ils ont bien parler d'une défaillance, peut-être pouvons-nous les tuer !

Quand le laser lui frôla le bras, il ne pu hurler sur l instant tant la surprise de l'action fut fulgurante. Comment expliquer... C'était comme si cela avait été si rapide que la douleur n'arriva que de longue secondes après. Se laissant tomber contre une carcasse de voiture a l'abri des balles, et pour dire vrai, a l'abri de quoique ce soit de potentiellement dangereux, Marley chercha sa respiration alors que la douleur lui coupait le souffle ainsi que les jambes. Cette douleur ne se concentra pas seulement dans la plaie, mais se répandit rapidement dans tout son bras et atteignit même sa poitrine. Ou alors était-ce ces poumons vidés de tout air qui lui faisaient cet effet. Quand Jack le rejoignit et observa sa plaie et qu'il lui toucha la main par inadvertance, Marlkey ressentit a cet instant le besoin de crier. Mais il n'en fit rien. Il se mordit plutôt la lèvre en fermant les yeux, priant intérieurement que le temps s'arrête, que tout se fige pour qu'ils aient le temps de s'enfuir loin de ce grabuge. Mais n'était ce pas ce qui s'était passer quelques instants plus tôt ? Ou cela n'avait été qu'une illusion de plus ? Tout allait trop vite, tout s'embrouillait dans son esprit. Cela n'était qu'une égratignure mais même si, en bon ex-flic qui se respectait, il avait gouter de près a la douleur sourde d'une balle en pleine épaule et même plein abdomen, jamais cela n'avait été aussi puissant. Et la, il ne pouvait plus ordonner un seule pensée logique.

- Merde !- Omg, mais il était toujours la lui ? Et il sortait d'où d'abord ? - Mon tardis est là-bas...

Marley jeta un coup d'oeil dans la direction qu'il montait. Et qu'est ce qu'il vit ? Ces fameux Daleks.

- Et bien oui ! Courrons jusqu'à eux les bras tendus. Le miens n'as pas du leur suffire, ils doivent avoir faim ses pauvres chéris et PUTAIN C'QUE CA FAIT MAL CETTE CONNERIE !

Ca y est, il avait crier.

Le ciel devint noir. Marley avait du mal a suivre tout ce qui se passait, entre ses cris, ses tirs, toute cette énergie un peu partout, mais il vit bien cette masse lumineuse qui s'enfonçait dans le sol pour grignotter tout ce qu'il s'y trouvait.
Le pont s'écroulait, et ils étaient les prochains à rejoindre l'eau. Il déglutit en s'arrachant un morceau de chemise et en enroulant sa plaie. Beurk, pas beau à voir.
Quand il vit Jack le regarder avec cette lueur dans les yeux, il sur en cet instant que ce qui allait suivre n'allait pas du tout lui plaire.

- Je peux faire diversion, le temps pour vous de fuir.

Pardon ?! Lui laisser faire une diversion seul ?! Hors de question !

- Marley, ce Time Lord est sous ta protection. - AH BAH OUI, QUELLE BONNE IDEE ! - Rejoins la tour de Londres et demandes Kate Lethbrige-Stewart, elle t'aidera certainement. - Il n'aimait pas du tout ce certainement. - Ah, n'oublie pas de dire que c'est Torchwood qui t'envoie, elle comprendra.

Elle avait intérêt à comprendre ! Marley déglutit de nouveau et lui serra le bras en fronçant les sourcils.

- Tu nous reviens vivant quand même, hein ?! Sinon, Ianto va me tuer doucement.

Puis il se tourna vers ce fameux Time Lord en lui affirmant de rester à couvert. Il se leva, restant caché derrière la carcasse des voitures. Son bras touchés pendant inutilement, avec son arme accrochée au bout. Putain, plus inutile que lui, on faisait pas ! Un autre laser les frolla tout deux, Marley roula sur le sol et jugea la situation. Bien. Jack occupait quelques Daleks, mais il y avait toujours cette énergie destructrice qui faisait tanguer le sol du pont comme des vagues. Et puis... Oh joie, il avait une magnifique vue sur la tour de Londres d'ici. Et vous savez quoi ? C'était la même merde là bas qu'ici !
Mais ils n'étaient plus qu'à quelque mètres du pilonne, quelque chose de stable qui n'allait pas s'effondrer comme le reste. C'était le début d'une valeur sure ! Mais malheureusement, il n'était pas sur qu'ils allaient y arriver a temps...

- Allons-y !

Et il se hâta, slalomant entre les voitures, sautant par dessus un... Oh, bonjour madame, belle journée n'est-ce pas ?

Ils n'étaient plus qu'au un saut de lapin d'un endroit stable quand une pierre du pont se détacha et le percuta sur le haut du crâne, ce qui eu pour effet de l’assommer. Mais il était coriace, il réussit a tituber jusqu'à cet endroit clé avant de... de...
Et bien bonne question. Parce qu'à partir de là, c'est le noir.